Cette ville, située à 200 km à l’est de Tripoli, est au main des insurgés mais l’armée libyenne en a fait l’un de ses principaux objectifs.
La coalition, aujourd’hui, répond :
“Des chars continuent d’avancer vers certaines de ces villes pour attaquer la population libyenne, explique cette commandante américaine. Nous sommes autorisés à frapper ces chars, et le président Obama a fait la connexion entre la résolution du Conseil de sécurité et ce qu’il considère comme notre mandat légal. Donc c’est le genre de cibles que nos raids aériens vont viser”.
Le président américain souhaite que l'OTAN prenne le commandement des opérations en Libye. Barack Obama espère que, dans les prochains jours, cette question sera clarifiée, après une réunion des représentants de tous les pays engagés. “Le nombre d’avions américains impliqués en Libye a déjà largement diminué”, précise-t-il.
L’Italie, le Canada, l’Espagne, la Belgique et le Danemark ont également engagé leurs avions en Libye. Le Premier ministre britannique souhaite convaincre un pays arabe de soutenir l’opération, mais l’entretien de David Cameron avec le Prince Faisal al Saud d’Arabie Saoudite n’a rien donné.
D'après nos dernières informations le Koweït et la Jordanie pourraient fournir un soutien logistique.